Concrètement, l’anesthésie sous hypnose permet au patient, qui reste actif, de se détacher de l’intervention chirurgicale et de la douleur. Mais le Dr Jérôme Schweitzer, anesthésiste, insiste sur le fait que "tout dépend de la volonté du patient".
Dans cette clinique, les médecins et infirmiers anesthésistes ont été formés à l’hypnose. Cette pratique de plus en plus utilisée en chirurgie gynécologie (également en chirurgie vasculaire, plastique et thyroïdienne) a dès lors de nombreux avantages: réduction du stress avant l’opération et des effets secondaires qui auraient pu survenir avec une anesthésie générale comme les douleurs et la fatigue. Et pour le Dr Corinne Fize, chirurgien gynécologue obstétricien, "on ne s’intéresse pas seulement à l’organe à traiter mais à la patiente en entier, à son psychisme. On est plus attentif aux paroles, aux sourires, à tout ce qu’on peut lui apporter. On a ainsi un lien plus fort avec la patiente". Autrement dit, cette pratique permet de revaloriser la relation avec le patient.
Dans cette clinique, les médecins et infirmiers anesthésistes ont été formés à l’hypnose. Cette pratique de plus en plus utilisée en chirurgie gynécologie (également en chirurgie vasculaire, plastique et thyroïdienne) a dès lors de nombreux avantages: réduction du stress avant l’opération et des effets secondaires qui auraient pu survenir avec une anesthésie générale comme les douleurs et la fatigue. Et pour le Dr Corinne Fize, chirurgien gynécologue obstétricien, "on ne s’intéresse pas seulement à l’organe à traiter mais à la patiente en entier, à son psychisme. On est plus attentif aux paroles, aux sourires, à tout ce qu’on peut lui apporter. On a ainsi un lien plus fort avec la patiente". Autrement dit, cette pratique permet de revaloriser la relation avec le patient.