IVG et Rêve Eveillé Libre. Dr Jean-Michel ISSARTEL

Grâce au REL, la rêveuse se libère des séquelles de son avortement qui, qu’elle en soit consciente ou non, conditionnent son aptitude à mener librement sa vie.



Dans notre pays, le nombre d’IVG est estimé à plus de 200 000 chaque année et ce, malgré la libéralisation de la contraception. Cette interruption de grossesse est un traumatisme intime, souvent profond de celle qui la subit ET aussi de sa descendance.

Pensez-vous que l’avortement laisse des traces difficiles à vivre chez les femmes ? 85,5 % des interrogés y répondent par l’affirmative (BVA). Si la culpabilité éprouvée parfois consciemment par les femmes ayant eu recours à l’IVG est d’ordre social ou éventuellement religieux, elle naît en réalité toujours, et le plus souvent inconsciemment, du refus de donner la vie. Quand on prend conscience de la profondeur des empreintes laissées par une interruption de grossesse, on ne peut que se réjouir et se sentir soulagé qu’il existe pour toutes ces femmes un moyen de se réparer.

Ne pas subir et faire subir toute leur vie durant les conséquences d’un instant. Au mieux de désir, au pire de violence. Le REL développé par Georges Romey initie un processus d’auto-guérison permettant à la femme qui a avorté de se délester du poids d’une trahison vis-à-vis de la vie.

Rêver lui permet de reprendre le cours de Sa vie dans de meilleures conditions, c’est aussi un moyen de se réconcilier avec le mouvement de La Vie, du Vivant en elle. Rêver c’est aussi libérer ses enfants. Quand l’un des maillons se met en vibration, toute la chaîne de vie entre en résonance…



Rédigé le 15/04/2014 à 11:18 modifié le 15/04/2014


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